Horizon courbe du désert
Etoile, inaccessible mirage
Lentement mon âme distille ton image
Ondulante comme l’eau d’une rivière
Ivresse des nuits blanches quand
Sournoisement le poison s’insinue
Et se souvenant de ton regard nu
Envoûtant...
Soudain mon esprit s’élance
Icare je te rejoins
Osant braver les vides immenses
Longtemps nous irons ma belle
Emportant l’aurore et le crépuscule
Hélios et le firmament sous notre aile.