Une pluie comme larme traine
Plurielle ruisselante, seule
Sur ces boucles qui tiennent aux feuilles
Comme des fougères aux grands chênes
Alors dans une faiblesse
Les fées naissent des fées mères
Comme l’éclat du temps blesse
Entre automne et hiver
Belles et fuyant leurs ailes
Toutes dorées de rosées
Elles recèlent du soleil
Au creux des yeux qui créent