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De quoi allons nous parler ici ?

Ce qui m’intéresse, dans cet exposé c’est d’observer le changement du statut du cyborg dans la science fiction.

D’abord homme aidé par la technique, il deviens peut a peut un être schizophrène, déchiré qui subit la dualité esprit- chair au niveau homme machine pour finalement accoucher d’un nouvel homme machine, nouvelle définition de l’homme « fondu » dans la machine et vice versa, l’homme de demain.

Ce qui est intéressant c’est que ce discours est a peu prés celui que des grandes entreprises comme Microsoft nous resservent aujourd’hui...
... a se demander si nous ne somme pas déjà des cyborg.

J’ai volontairement utilisé le terme générique science fiction dans cet exposé car si la plupart des éléments de l’univers science fiction ont étés apportés par des romans ou des nouvelles, le cinéma et la bande dessinée ont largement contribué a sa diffusion

Quelques mot utilisés

  • Robot : Objet artificiel qui ressemble a un être humain
  • Androïde : robot a forme humaine (étymologiquement du grec signifiant « ayant forme humaine ») .
  • Droïde : est obtenu par contraction d’androïde (apparait pour la première fois dans « starwars » en 1976). Désigne de manière générale un robot
  • Cyborg : Contraction de cybernétique et organique, de manière générale désigne un humain possédant des organes mécanique ou un robot a cerveau humain (cas extrême).

L’ordinateur intelligent dans la science et la science-fiction

Dés la première moitié de notre siècle des esprits ont commencer a développer tout un imaginaire autours des nouvelles technologie. Mais le thème de l’homme refabriqué avait déjà été traité bien avant sous un autre angle (celui de la médecine) par Mary Shelley dans le célèbre Frankestein. Epoques différentes, préoccupation différentes mais même hypothèse d’un homme mécanisable, reproductible par des procédés techniques.... d’ailleurs dans Frankestein on voit déjà apparaitre un des problème majeur des futurs cyborgs, le docteur Frankestein est en effet obligé de se procurer un cerveau intact car c’est le seul organe qu’il ne peut recomposer...

C’est en 1921, dans « R.U.R. (pour « Robots Universels de Rossum »), une pièce de théâtre du Tchèque Karel Capek, qu’apparait pour la première fois le mot robot, « robotnik » signifiant « homme de peine ».

Le robot est une créature artificielle et inférieure, destinée aux tâches les plus ingrates. Cet esclave de métal plus corvéable que l’ouvrier remplace petit a petit l’homme.

Un des premier film faisant intervenir un homme machine ou « androïde » est Métropolis de Fritz Lang en 1926 (Lucas s’en inspirera pour le design de son « droïde » c3p0) dans ce film, Hel Maria, une créature démoniaque mise au point par un savant fou entreprend de soulever les ouvrier réduit en esclavage par le travail a la chaine.

Dans ces deux cas le cyborg apparait comme une métaphore visant a critiquer les méthodes de travail trop « mécanisante » pour l’homme. Il est donc connotée de manière plutôt négative et très rapidement il apparait dans les comics américains et le films a la « Ed Wood » comme une créature hostile pour l’homme, une puissance mécanique dénué d’intelligence et de sensibilité ils représentent la peur de l’homme face a une technique asservissante qui fait de lui un esclave .

Isaac Asimov est un des premiers auteurs a réellement faire une études sur la manière dont la société réagirait a l’apparition des robots et au progrès technologique.

Ainsi dés 1929, il imagine le robot s’intégrant a la société comme une sorte d’animal familier, c’est a dire que l’homme développe autours de lui un lien affectif important. Est-on loin du « tamagochi » qui n’a de raisons d’être que parce que l’on s’en occupe ? (ou qu’on s’amuse a le martyriser).

Asimov a écrit de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique mais est surtout reconnu pour ces romans et nouvelles de science fiction. Dans ses romans traitants des robots, il conçoit le robot comme une sorte de serviteur, l’homme doit utiliser la technologie pour le dispenser de taches répétitive, ennuyeuse ou risquées.

Cependant il prête aussi aux robots une sensibilité et une certaine intelligence. Ce qu’il montre a travers le cycle des robots c’est comment la conscience et l’intelligence viens petit a petit aux robots. C’est pourquoi, afin de maitriser les réaction des robots il énonce, dans ces premiers romans les trois lois de la robotique :

  • 1. Un robot ne doit pas mettre un humain en danger ou laisser un humain en danger.
  • 2. Un robot doit obéir a un être humain, sauf si cela contrevient a la loi 1.
  • 3. Un robot doit protéger son existence tant que cela ne contrevient pas aux lois 1 et 2

Ces règles morales qui régissent le statuts du robot le définisse exactement, littéralement comme un esclave.

A travers toutes ses nouvelles ou on voit l’émergence du robot intelligent, Asimov suppose qu’on peut reproduire mécaniquement des processus mentaux complexes cette idée va être développée plus tard par des scientifiques et une « science » en émergera : la cybernétique.

Après la seconde guerre mondiale, Wienner avec d’autres chercheur d’horizons bien différent forme un mouvement de pensée : la cybernétique dont le but est d’employer des parallélisme homme machine afin de trouver le meilleur moyen de « diriger les hommes », d’éviter l’entropie qui est le désordre et le chaos.

Pour les cybernéticiens, les relations que les phénomènes entretiennes entre eux sont plus important que leur nature. C’est a dire que le comportement est plus important que l’essence.

L’être communicationel est défini par Wienner selon des concept d’input output et de feed-back qui analyse les réaction du sujet a des données de base ( c’est le principe du test de Voight-Kampff de Blade Runner ) c’est aussi ce principe qui est a base des études sur les systèmes d’intelligence artificielle ( enfin c’est réellemnt ce principe qui est a l’origine de la mise au point de l’ordinateur).

Dans les robots d’Isaac Asimov, dans métropolis, starwars, blade-runner et de nombreux autre ouvrages, on retrouve ce raisonnement, les robots ont une apparence très proche de l’humain , cela est significatif de la manière de penser dont il sont issu : Les robots ne sont pas l’humain, ils doivent imiter l’humain jusqu’à la perfection... avoir l’apparence de l’humain et avoir l’apparence de l’intelligence (Asimov tente cependant de justifier cette apparence par....) c’est un détournement des théorie wieneriennes .

Wienner avait une vision plutôt négative de l’homme c’est pourquoi il pensait qu’un homme ou même plusieurs hommes n’étaient pas aptes a gouverner d’autres hommes, il pensait qu’il fallait délester les hommes de cette fonction de pour la confier a des machines (qui ne connaissent ni caprice ni passion, désir et ambition...).

En ce sens Wienner contestait la légitimité du pouvoir tel qu’il était instauré on peut donc le définir comme un anarchiste. Donc pour Wienner, l’androïde est une sorte de surhomme, un messie cybernétique dont il est le prophète, un être tout communicationel dont les raisonnements ne sont que logique.

Dés lors plusieurs questions se posent et qui, étrangement correspondent a des problèmes que rencontrent aujourd’hui les chercheur en robotique et intelligence artificielles.

comment une machine entièrement communicationelle peut elle créer ? Créer c’est plus qu’établir des relations entre divers éléments, créer c’est en tirer quelque chose de différents, influencer les dés, maitriser un aléatoire qui est dans l’homme.

On peut remarquer que les robots et droïde d’ou qu’ils soient savent tous parler, hors nous savons bien aujourd’hui que parler une langue est complexe, que pour chaque mot il y a un contexte qui fait appel a l’imagination hors imaginer c’est créer une image... .

Le même problème se pose lorsque on veut créer des robots capable d’apprendre... la réflexion elle même ne nécessite telle pas une part de création ? et l’intelligence ?

Leur esprit est entièrement analysable, sinon ils n’auraient pas put être construit.

Cependant dans Les Cavernes d’Acier qu’il écrit en 1954, et le robot qui rêvait Asimov imagine des régions de ce cerveau artificiel rebelle a l’algorithme et commence a imaginer une âme venant aux machines.

Dans Do androïds dream of electric sheep de Philippe K.Dick en 1968 (adapté au cinéma en 1982 sous le titre Blade Runner) on voit un androïde tomber amoureux d’un humain, rêver et avoir des sentiments... , les robots se rapprochent de plus en plus de l’humain prenne conscience de leur existence, et représente un danger pour l’homme.

Le robot fait aussi peur, c’est la révolte des robots d’Asimov et la conscience venant aux machines, le silicone se sentant exister ,les transistor poétisants et partisans de leur rébellion...

C’est 1984 et l’oeil asservissant de Big Brother qui a jamais s’impose sur les utopies Wieneriennes, c’est Kubrick rêvant 2001 c’est l’apparence devenant par on ne sait quelle alchimie le pensant.

Les tables sacrés d’Asimov brisées.

La supériorité de la machine effraie... mais ce n’est plus réellement une supériorité physique de la machine, sinon une rivalité sur le plan de l’intelligence et de la conscience que font ressortir ces ouvrages.

Cependant si les scientifique en robotique semblent tous bien connaitre l’oeuvre d’Asimov qu’apprend t’ont aux robots aujourd’hui :

Ne pas se cogner au mur (protéger son existence)
Obéir aux ordre de l’humain tant que cela n’enfreint pas la première loi

Ironie du sort ?


Les cyborgs

Les cyborg sont d’une nature différente des androïde, en effet le terme cyborg provient directement de la contraction cybernétique - organique. Les cyborg sont donc d’une double nature a la fois homme et machine, du domaine du vivant et de celui de l’inerte...

Le mot Cyborg apparait en 1972 dans le roman Cyborg de Martin Caidin roman qui donnera naissance a la célèbre série L’homme qui valait 3 milliard.

En fait les cyborg sont au départ des hommes améliorés grâce a des organes mécaniques, ou qui ont eut recours a des implant mécanique pour palier a une déficience.

L’inspecteur gadget de notre enfance est un bon exemple du cyborg de base.

Etrangement d’ailleurs la science qui étudie la manière de réaliser ces implants n’est pas la cyborgnétique mais la bionique (biologie cybernétique) l’homme bionique dont parlent les scientifique tout a fait sérieusement aujourd’hui est donc bien un cyborg.

D’ailleurs dans God and Golem, Wiener montre les divers stades de la bionique au cyborg :

  • 1. D’abord l’ajout de prothèses.
  • 2. Puis des liaisons fonctionnelles homme machine (stade ou nous en sommes aujourd’hui)
  • 3. Création de nouveaux sens et nouveaux membres.

Il est intéressant de constater l’évolution entre le fantasme du robot intelligent et celui du cyborg. Dans un des cas l’homme crée un « autre » différent de lui même mais pourvu d’une sensibilité et d’une intériorité, donc qui ne lui est pas totalement transparent.

Dans le cas du cyborg il s’agit de transformer, d’améliorer l’homme, de le changer par l’intermédiaire de la machine. Dans le premier cas il y a une distanciation avec la machine la ou dans le second cas il y a une intégration de la machine a l’individu.

Dans le cas des cyborg, la « conscience » humaine ou du moins une partie de celle ci est mise en valeur car même dans les cas extrême, le cyborg est toujours pourvu d’un cerveau humain. Dans Ghost in The Shell, le manga de Masamune Shirow adapté au cinéma par Mamoru Oshi, cette partie de la conscience est appelée le « Ghost » et est défini de la sorte :

Terme qui désigne la partie humaine du corps qui renferme l’identité
Inventé afin d’éviter la confusion avec âme
Terme antérieur a l’aire cybernétique.

(on ne prendra pas garde a l’utilisation abusive du mot Cybernétique dans cette définition...)

De cette idée émerge le personnage fort répandu aujourd’hui du cyborg mélancolique et schizophrène, esprit prisonnier malgré lui d’un corps qui n’est pas le sien... parce qu’on a voulut faire de l’outil le corps, qu’on a spécialisé son corps.

Ainsi dans Gunnm, un manga fort connu de Yukito Kishiro, Gally, une cyborg dont le cerveau humain a été retrouvé par un professeur - technicien dans une décharge puis doté d’un nouveau corps a perdu la mémoire de ce qu’elle était.

Tout au long de l’histoire elle vas petit a petit retrouver son corps de guerrière mais sa quête est en fait celle de son humanité, sachant que son esprit n’est pas fait pour son corps mécanique...

On peut supposer que le Cyborg a été inventé (au milieux des années 70 rappelons le) en réaction aux échecs des premières tentative de création de systèmes intelligents et parallèlement au développement de l’informatique pour tous.

L’ordinateur apparait alors comme un outil capable d’aider l’homme mais incapable de réactions imprévisible, contrairement aux robots car non doté d’une conscience il sous entend pour son fonctionnement la présence de l’homme.

Les premiers cyborg en un sens ne sont pas très différents des robots, les jambes de l’homme qui valait trois milliard n’interfèrent pas avec sa conscience, elles se conduisent comme des robots étrangers dont la fonction est de déplacer leur propriétaire.

Cependant contrairement aux robots elles n’ont pas de « conscience » propre et elles sont entièrement subordonnées aux ordres donnée par leur propriétaire.

Elles représentes en quelques sorte un outil, a la fois prolongement des os et de la force de l’homme (si on se réfère aux concept émis par *****).

Puis de cet homme aidé « mécaniquement » on passe petit a petit notamment grâce a l’informatique a un homme aidé intellectuellement et plus encore un homme capable, grâce aux machine de dépasser sa condition d’homme.

En effet le cyborg muni de mémoires alternative et communiquant avec son cerveau « d’humain » peut exécuter plus rapidement que quiconque des calculs complexes, mais au delà de ça ce cyborg possède la une mémoire quasi infaillible, en cela il perd un peu de son humanité ou disons qu’il la dépasse puisqu’il se débarrasse du fameux problème de « l’errare humanum est ».

En ce sens le cyborg est un être puissamment subversif puisqu’il se présente comme une créature sans défaut, un esprit commandant une force colossale, doté d’une mémoire immense et infaillible, qui plus est quasiment immortel (tenant compte qu’on peut contrer la sénilité par des fonctions électronique visant a remplacer le fonctionnement du cerveau, on ne garde plus que ce qui fait l’identité, le « Ghost » de l’homme enfermé dans une boite de conserve).

Cependant a l’extrême cela ne revient il pas tout simplement a doter un robot de fonction subjective grâce a un organe humain ? Le problème de base de l’humain amélioré n’est il pas dés lors pris a l’envers, le cyborg un robot amélioré, le « Ghost » un outil du robot ?

L’homme - outil ne perd il pas tous ce qui fait l’humanité et qui justement correspond a ce que nous pouvons produire sans outil, avec notre corps original ? Cela reviens a définir le concept philosophique de l’être qu’est ce que l’être ?

Dés lors le cyborg n’est plus un homme, ce n’est pas une machine non plus.
Dans Ghost in the Shell on voit apparaitre un nouveau phénomène, la communication entre le corps du cyborg et son « ghost » en fait, le corps hyperspécialisé du cyborg est doté d’une intelligence et communique avec son propriétaire.

Finalement les manifestation du Ghost finissent par ce rapprocher de celles de l’inconscience chez l’homme, on atteint le stade ultime de la mécanisation.

Le cyborg n’est plus l’humain ou le robot, c’est un nouvel être a part entière.
Le personnage du cyborg, possède ceci de particulier qu’il sous entend une structure équivalente entre les machines intelligente et l’homme, plus encore que dans le cas des robots puisque dans un cyborg ses deux structures communique.

Voila ce que devient poussé a son paroxysme l’adulation des moyens de communication, le moyen de communication devient le but et finalement on cherche a communiquer avec la machine... a être le moyen de communication, voila quel fantasme profond trahis le cyborg.


Robots, cyborgs et fantasmes de la sociétée...

En fait on peut considérer l’évolution du fantasme de l’homme mécanique du robot jusqu’au cyborg comme le reflet de l’évolution de la conception des nouvelles technologie par la société.

En effet, tant que les nouvelles technologies et notamment l’informatique étaient réservées a une élite de techniciens, elles nous apparaissaient froide et inconnues, et on a du mal a se les représenter d’ou la figue énigmatique du cerveau électronique sous une coque métallique.

Dans les années 70 et au début des années 80 on a vu le développement de la micro informatique et l’apparition des premiers micro ordinateurs familial. Comme l’avait en quelque sorte prévu Asimov en dépeignant des robots attachant, proche des animaux familier, c’est un peu le statut qu’on voudra faire prendre au micro ordinateur (en les personnalisant par exemple dans les première publicités).

Dés lors la société s’approprie la micro informatique qui sort des milieux scientifique et envahis les entreprise et les famille. De la même manière un des fantasme qui réapparaitra et qui sera entretenu sera celui d’un futur ou l’informatique est omniprésente, un paradis communicationel hérité des cybernéticiens.

En quelque sorte, les progrès technologiques rendaient plausible une utopie que portaient les romans de science fiction . Et d’autre part, les techniciens et ingénieurs dans la direction de leurs recherches se laissent facilement influencer par cette littérature d’ou une sorte de cercle se formant et une vision du futur s’imposant de plus en plus car elle mobilise les moyens de recherche. (en fait les théories de la cybernétique ont survécus « underground », grâce a la science fiction, si les théories de Wienner ont vue le jour après la guerre elles furent vite oubliés, les premiers chercheurs en I.A ont étés largement inspirés par Asimov et se processus continue, de nos jours des chercheurs se penchent sur la téléportation, idée directement issue de la célèbre série Startreck )

L’apparition du personnage du cyborg montre bien cet attachement aux nouvelles technologie, un attachement presque viscéral puisqu’au fond rêver du cyborg c’est rêver d’une communication avec la machine (je connais d’ailleurs bon nombre d’informaticiens qui ont donné un petit nom a leur machine et leur parle souvent. On parle a un mac ou un amiga, on engueule son P.C.).

Un des grands mouvement qu’on peut observer aujourd’hui dans l’utilisation des N.T.I.C c’est la miniaturisation, la probabilité et l’omniprésence (fait de toujours pouvoir avoir avec soi ).

Mine de rien ce mouvement est peut être influencé par l’image du cyborg. Ainsi malgré toute les critique que la S.F a put porter a ce personnage, il n’en demeure pas moins que nombre d’entre nous sont heureux d’avoir sur eux un téléphone portable qui celons les vendeur « abolit les distances », bientôt internet et d’autres choses encore... ce désir de s’immerger dans un cybermonde qui est le propre du cyborg.

Car le cyborg, ne l’oublions pas c’est aussi et surtout l’homme de demain, et les grandes entreprises ne s’y sont pas trompés.

Ainsi lorsque Microsoft prépare des projet visant a faciliter la communication avec l’ordinateur et des projet d’Intelligence Artificielle c’est peut être quelque part a une société de cyborg qu’elle s’adresse, a une société pour qui le but n’est pas tant de communiquer mais d’utiliser les moyens de communication, d’avoir une relation avec cette technologie qui fascine, cette hypothèse pourrait permettre de comprendre pourquoi alors que nous prétendons entrer dans une société de communication on peut observer l’individualisme grandissant.

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